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Où est la friche

Rue Arthur Roland 3, 1030 Schaerbeek

La friche qu'est-ce-que c'est

C’est un terrain de 24 hectares en plein cœur de la région bruxelloise, à la limite entre Schaerbeek et Evere. Cette friche est une large réserve de biodiversité. Elle est aujourd’hui menacée d’être détruite par un projet d’aménagement du territoire: 509 logements doivent y être construits.

Pourquoi sauver la friche

La friche Josaphat est un grand espace ouvert – sans intervention humaine – et qui fait le lien entre différents espaces de nature à Bruxelles. Cette situation en fait un espace précieux en termes de biodiversité. Aujourd’hui, il serait sage et réaliste d’en faire une réserve naturelle : un espace pédagogique qui permette aux Bruxellois(es) de mieux comprendre les liens de l’humain à la nature. Cet espace naturel est un atout pour la ville (qui se targue d’être l’une des plus vertes d’Europe).

Un plan B pour la friche

Un collectif d’associations environnementales et citoyennes lance son Plan B Josaphat. Le BRAL, Natagora, Josaph’Aire, Sauvons La Friche Josaphat, Natuurpunt Brussel, l’ARAU, les collectifs « Bas les PAD » et “Sauvons notre parc Avenue des Jardins” avec l’aide de Team Leopold III, ont réalisé un Manifeste pour la friche Josaphat. L’alternative est basée sur l’idée centrale suivante : que le vert reste vert et que la ville soit construite sur la ville, dans une vision concertée avec les citoyens. Sur base de cette idée, le collectif présente quelques scénarios illustrant la diversité des possibles et la créativité des citoyens. Ce Manifeste est une main tendue au gouvernement bruxellois et aux administrations concernées pour écrire ensemble une nouvelle histoire… lire le manifeste du plan B

plan de la friche Josaphat

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Sauvons la friche Josaphat

L'association se réunit tous les mois pour discuter des actions à mener. Nous sommes très actifs sur les réseaux sociaux.

membres de sauvez-la friche

Nous sommes plus de 20.000 à exiger une meilleure protection de notre patrimoine naturel ...

Le message que nous avons adressé au gouvernement bruxellois est le suivant : appliquons sans tarder les dispositions du Plan nature et du Plan climat ; et, protégeons les dernières réserves de biodiversité de la capitale, à commencer par la friche Josaphat. Cet espace naturel est un atout pour notre ville (qui se targue d’être l’une des plus vertes d’Europe). Ne le gâchons pas : réfléchissons à un #PlanBJosaphat. En janvier 2021, plusieurs plans alternatifs dont le notre ont été présentés.

#PlanBJosaphat : faire une réserve naturelle​

La friche Josaphat est un grand espace ouvert sans intervention humaine et qui fait le lien entre différents espace de nature à Bruxelles. Cette situation en fait un espace précieux en termes de biodiversité. Aujourd’hui, il serait sage et réaliste d’en faire une réserve naturelle : un espace pédagogique qui permette aux Bruxellois(es) de mieux comprendre les liens de l’humain à la nature.

Un manifeste en faveur de la biodiversité urbaine !

À la suite de la campagne de communication #PlanBJosaphat
– qui demande la mise en pause du PAD Josaphat – plusieurs associations
de citoyens, d’architectes et de naturalistes ont proposé des plans alternatifs visant à préserver le patrimoine naturel de la friche … Ces propositions sont résumées dans un manifeste qui a été rendu public en janvier 2021.

Découvrez la friche sur observations.be​

Les naturalistes de Belgique utilisent un outil de recensement qui rend compte de l’état de la biodiversité dans notre pays et permet de comprendre ce qui la renforce ou, au contraire, ce qui la détruit. On sait que les populations d’insectes et d’oiseaux sont fortement affaiblies, tant au nord qu’au sud du pays, en raison de la destruction des habitats et de l’activité humaine, et notamment à cause de l’épandage de pesticides. Dans ce contexte, les friches urbaines jouent un rôle de « zones refuges ».

L'importance des abeilles sauvages...

Il y a quelques années, l’apiculture a connu un immense regain d’intérêt. On est aujourd’hui en train d’en payer le prix fort : au-delà d’un certain seuil, ces populations d’abeilles fragilisent l’habitat des abeilles sauvages. Bruxelles fait clairement partie des ces villes où les colonies domestiques se sont multipliées, parfois au détriment des populations d’abeilles sauvages … Heureusement, il existe quelques espaces naturels où ces populations peuvent se maintenir …

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